19 avril 2020
Le syndrome du Pékinois
La Russie est le caniche de Pékin.
Nouvelle illustration :
Les doutes de Londres et Washington. Emmanuel Macron n'est pas le seul à avoir des réserves. Jeudi, le Royaume-Uni a averti la Chine qu'elle devrait répondre à des "questions difficiles sur l'apparition du virus et pourquoi il n'a pas été stoppé plus tôt". L'administration Trump a de son côté accusé Pékin d'avoir "dissimulé" la gravité de l'épidémie à son début. La Russie a, elle, pris la défense de la Chine, qualifiant ces accusations de "contre-productives" (JDE, 17 avril 2020).
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