Le Maquis de St-Marcel & la poche de Lorient en ebook
Première bataille des forces françaises après le Débarquement, les combats du maquis de Saint-Marcel dans le Morbihan restent méconnus. Ils ont pourtant contribué à contrarier en Bretagne, l'une des régions françaises les plus militarisées pendant la Seconde guerre mondiale, l'envoi en renfort des divisions allemandes sur le front de la Normandie. Actif, spontané, le maquis vit affluer au nez de l'ennemi 3.000 jeunes Bretons armes à la main. La folle journée du 18 juin 44, au milieu des landes de Lanvaux, se solda par de lourdes pertes pour les soldats du Reich.
L'ouvrage (44 pages), étayé par les témoignages de résistants et celui du dernier Special Air Service engagé, retrace la constitution des réseaux de résistance dans l'Est du Morbihan, l'organisation et le déroulement heure par heure de la bataille. Il aborde la sévérité des traques et des représailles durant l'été 44 jusqu'à la Libération de la Bretagne par la 66e division US du général Patton. Le mouvement n'en resta pas là car de nombreux maquisards prirent part au sein des FFI à l'encerclement de la poche de Lorient jusqu'à la reddition du 9 mai 45.
Le sommaire détaillé :
Le temps des premiers réseaux et l'opération Cockle
Pierre Golvet, des actes de résistance après la débâcle dès 1940
Raymond Guillard, le témoignage d'un agent de liaison
Le prélude à la bataille
Les 4e SAS parachutés pour préparer et former les maquisards
Le rôle clef des Special Air Services
Le colonel Bourgoin
Alain Papazow, le dernier SAS du maquis de Saint-Marcel
Le récit d'une folle journée, heure par heure
De la traque aux représailles
Sauvés en train de creuser leur tombe par des mosquitos anglais
La traque de Guillac, comment la garde du Cdt Guimard est passée entre les balles
Le drame du Bohurel ou le crime masqué du résistantialisme
Les dix-huit victimes de la fusillade de Kerihuel
A la recherche du colonel Bourgoin, l'invraisemblable confusion allemande
De la Libération à la poche de Lorient
L'accueil en héros de l'organisateur du maquis
Poche de Lorient : Allemands et Alliés rejouent la guerre d'usure
Le 10 mai 45, le major général Kramer accepte l'arme de reddition
... et sur le front de la Vilaine
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